Chut ! Le c*** dort !

Salmiri ? excuses, mais c'est le virus de l'herpès ça ! Drôle de bestiole... je prends la mano !

Vous n'aimez pas le boudin donc...Même pas le blanc ? s'enquit William .
-Hélas
la maladie m'interdit ce plaisir ! soupira le petit homme. Quelle
maladie, c’est la question, mais le symptôme est avéré : j’oublie tout
quand j’en mange, et de quelque façon, au four, mijoté, ou poêlé.
Or
en goûtant un saucisson long et rond chez mon boucher Vremont, celui-ci
me dit que Johnny et les fans trouvent Bono beau ! Soit mais de là a
mettre son portrait sur les murs, rien ne m'y oblige !
Et pourtant cette charcuterie elle est fantastique, oh, mon Dieu...
"C'est
en effet l'un de mes lieux favoris, il me ravit! Le boudin requinque et
pis l'ouvE les chakras aussi!" dit un client fantasque qui, sous chaque
bras, tenait un pain de seigle.
"Quel jargon!" glapit Will, en
séchant ses mains. Sortant de la boutique, il voit un camé : Léon ? Vi,
il vend pire qu'avant. Jamais revu depuis Oran ou Tanger.
- Pour
éviter les ennuis, reprit le petit homme, j’eus naguère une méthode :
durant des années, un matou goûta tous mes plats – or, quand le chat
cale, c’est mauvais signe. Itou quand le gay part, mais Hippo, pote,
ami, même, que je savais homo, ne voulait pas goûti – goûter,
voulais-je dire.
Mais il était tard.
- Faut que j’aille au pieu, Vremont ! lança Imiri, car peuchère, j’ai sommeil ! j'espère qu'il va se taire !

William se taire ? Dame ! Même quand il dort, meurt, il chante , s'il nettoie, ok, partie graisse "Cargo de nuit" beugle t-il !

Spoiler:

keninoo a écrit:

Dortmunder a écrit:Formidable ! Je savais que ce jeu était taillé sur mesures pour not'Carbie...

Tu m'étonnes

Carbie championne des JDM !

Spoiler:

Péplum a écrit:Salmiri ? excuses, mais c'est le virus de l'herpès ça ! Drôle de bestiole... je prends la mano !

Meuh non, le monsieur s'appelle imiri, et lmiri...

Dortmunder a écrit:

Péplum a écrit:Salmiri ? excuses, mais c'est le virus de l'herpès ça ! Drôle de bestiole... je prends la mano !

Meuh non, le monsieur s'appelle imiri, et lmiri...

Ahhhhhh ! OK ! lmiricar... Euh ! non, je ne vois toujours pas !

Mes amis quel festival, je suis larguée mais bravo à tous

Je me suis planté en donnant mon explication, tu ne risquais pas de comprendre...
En fait :
- ça + imiri = saïmiri
- car + peu = carpe

De mon côté, je n'ai pas compris ce que donnait le "car" après "tigresse", peux-tu m'éclairer

Péplum a écrit:

Dortmunder a écrit:

Péplum a écrit:Salmiri ? excuses, mais c'est le virus de l'herpès ça ! Drôle de bestiole... je prends la mano !

Meuh non, le monsieur s'appelle imiri, et lmiri...

Ahhhhhh ! OK ! lmiricar... Euh ! non, je ne vois toujours pas !

Ben, ça fait 5 mn que je seiche aussi... une imiri carpe? Ma, qué yé connais pas...

Carbie, la JDM qui usurpe son titre sur ce coup-ci....

Je ne connaissais pas le saïmiri mais il gagne à être connu, trop mignon !

Vous n'aimez pas le boudin donc...Même pas le blanc ? s'enquit William .
-Hélas, la maladie m'interdit ce plaisir ! soupira le petit homme. Quelle
maladie, c’est la question, mais le symptôme est avéré : j’oublie tout
quand j’en mange, et de quelque façon, au four, mijoté, ou poêlé.
Or, en goûtant un saucisson long et rond chez mon boucher Vremont, celui-ci
me dit que Johnny et les fans trouvent Bono beau ! Soit mais de là a
mettre son portrait sur les murs, rien ne m'y oblige !
Et pourtant cette charcuterie elle est fantastique, oh, mon Dieu...
"C'est, en effet l'un de mes lieux favoris, il me ravit! Le boudin requinque et
pis l'ouvE les chakras aussi!" dit un client fantasque qui, sous chaque
bras, tenait un pain de seigle.
"Quel jargon!" glapit Will, en séchant ses mains. Sortant de la boutique, il voit un camé : Léon ? Vi,
il vend pire qu'avant. Jamais revu depuis Oran ou Tanger.
- Pour éviter les ennuis, reprit le petit homme, j’eus naguère une méthode :
durant des années, un matou goûta tous mes plats – or, quand le chat
cale, c’est mauvais signe. Itou quand le gay part, mais Hippo, pote,
ami, même, que je savais homo, ne voulait pas goûti – goûter,
voulais-je dire.
Mais il était tard.
- Faut que j’aille au pieu, Vremont ! lança Imiri, car peuchère, j’ai sommeil ! j'espère qu'il va se taire !

William se taire ? Dame ! Même quand il dort, meurt, il chante , s'il nettoie, ok, partie graisse "Cargo de nuit" beugle t-il !
- Tais-toi Willy, corna Jade, son amante, fatiguée, partie griller une clope, au summum de l'énervement...

Spoiler:

Vous n'aimez pas le boudin donc...Même pas le blanc ? s'enquit William .
-Hélas, la maladie m'interdit ce plaisir ! soupira le petit homme. Quelle
maladie, c’est la question, mais le symptôme est avéré : j’oublie tout
quand j’en mange, et de quelque façon, au four, mijoté, ou poêlé.
Or, en goûtant un saucisson long et rond chez mon boucher Vremont, celui-ci
me dit que Johnny et les fans trouvent Bono beau ! Soit mais de là a
mettre son portrait sur les murs, rien ne m'y oblige !
Et pourtant cette charcuterie elle est fantastique, oh, mon Dieu...
"C'est, en effet l'un de mes lieux favoris, il me ravit! Le boudin requinque et
pis l'ouvE les chakras aussi!" dit un client fantasque qui, sous chaque
bras, tenait un pain de seigle.
"Quel jargon!" glapit Will, en séchant ses mains. Sortant de la boutique, il voit un camé : Léon ? Vi,
il vend pire qu'avant. Jamais revu depuis Oran ou Tanger.
- Pour éviter les ennuis, reprit le petit homme, j’eus naguère une méthode :
durant des années, un matou goûta tous mes plats – or, quand le chat
cale, c’est mauvais signe. Itou quand le gay part, mais Hippo, pote,
ami, même, que je savais homo, ne voulait pas goûti – goûter,
voulais-je dire.
Mais il était tard.
- Faut que j’aille au pieu, Vremont ! lança Imiri, car peuchère, j’ai sommeil ! j'espère qu'il va se taire !

William se taire ? Dame ! Même quand il dort, meurt, il chante , s'il nettoie, ok, partie graisse "Cargo de nuit" beugle t-il !
- Tais-toi Willy, corna Jade, son amante, fatiguée, partie griller une clope, au summum de l'énervement...

Ils furent réveillés par le cri qu'Etienne poussa en glissant sur le sol de la véranda.

Spoiler:

Quel talent !!

Dortmunder a écrit:Je me suis planté en donnant mon explication, tu ne risquais pas de comprendre...
En fait :
- ça + imiri = saïmiri
- car + peu = carpe

De mon côté, je n'ai pas compris ce que donnait le "car" après "tigresse", peux-tu m'éclairer

"aisse Cargo" agonisant.

Je me sens seul, mais je continue :

Vous n'aimez pas le boudin donc...Même pas le blanc ? s'enquit William .
-Hélas, la maladie m'interdit ce plaisir ! soupira le petit homme. Quelle
maladie, c’est la question, mais le symptôme est avéré : j’oublie tout
quand j’en mange, et de quelque façon, au four, mijoté, ou poêlé.
Or, en goûtant un saucisson long et rond chez mon boucher Vremont, celui-ci
me dit que Johnny et les fans trouvent Bono beau ! Soit mais de là a
mettre son portrait sur les murs, rien ne m'y oblige !
Et pourtant cette charcuterie elle est fantastique, oh, mon Dieu...
"C'est, en effet l'un de mes lieux favoris, il me ravit! Le boudin requinque et
pis l'ouvE les chakras aussi!" dit un client fantasque qui, sous chaque
bras, tenait un pain de seigle.
"Quel jargon!" glapit Will, en séchant ses mains. Sortant de la boutique, il voit un camé : Léon ? Vi,
il vend pire qu'avant. Jamais revu depuis Oran ou Tanger.
- Pour éviter les ennuis, reprit le petit homme, j’eus naguère une méthode :
durant des années, un matou goûta tous mes plats – or, quand le chat
cale, c’est mauvais signe. Itou quand le gay part, mais Hippo, pote,
ami, même, que je savais homo, ne voulait pas goûti – goûter,
voulais-je dire.
Mais il était tard.
- Faut que j’aille au pieu, Vremont ! lança Imiri, car peuchère, j’ai sommeil ! j'espère qu'il va se taire !

William se taire ? Dame ! Même quand il dort, meurt, il chante , s'il nettoie, ok, partie graisse "Cargo de nuit" beugle t-il !
- Tais-toi Willy, corna Jade, son amante, fatiguée, partie griller une clope, au summum de l'énervement...

Ils furent réveillés par le cri qu'Etienne poussa en glissant sur le sol de la véranda.
Ce bruit très inquiétant alerta les deux gouroutes, tardivement revenues de leur beuverie. La matinée s'avéra paisible, jusqu'à ce que leur petit frère, Omar, casse un bol de lait.
- C'est assez, cria Queenie ! Je rentre au bercail, car y bout mon cerveau !

Spoiler:

"Je finirai seul, soupira Maurice..." il se moucha, Momo... Comme l'appelaient Lambert et les enfants, "Au moins, aurai-je la paix car ils font du bruit repensant à ce canadien qui lui avait dit : "mon père il a ben un char, mais y pô pô t'amener." Qu'il le garde son char, en son c** ! Se surprit-il à penser...

Spoiler:

Arf, qu'on est cons

C'était encore mieux que ça :

Péplum a écrit:
"Je finirai seul, soupira Maurice..." il se moucha, Momo... Comme l'appelaient Lambert et les enfants, "Au moins, aurai-je la paix car ils font du bruit repensant à ce canadien qui lui avait dit : "mon père il a ben un char, mais y pô pô t'amener." Qu'il le garde son char, en son c** ! Se surprit-il à penser...

Bien vu Ken !
Qui a dit que la connerie était la décontraction de l'intelligence ?
Parfois alors, je dois être très intelligent !

Moi c'est souvent alors

keninoo a écrit:Je me sens seul, mais je continue :

Vous n'aimez pas le boudin donc...Même pas le blanc ? s'enquit William .
-Hélas, la maladie m'interdit ce plaisir ! soupira le petit homme. Quelle
maladie, c’est la question, mais le symptôme est avéré : j’oublie tout
quand j’en mange, et de quelque façon, au four, mijoté, ou poêlé.
Or, en goûtant un saucisson long et rond chez mon boucher Vremont, celui-ci
me dit que Johnny et les fans trouvent Bono beau ! Soit mais de là a
mettre son portrait sur les murs, rien ne m'y oblige !
Et pourtant cette charcuterie elle est fantastique, oh, mon Dieu...
"C'est, en effet l'un de mes lieux favoris, il me ravit! Le boudin requinque et
pis l'ouvE les chakras aussi!" dit un client fantasque qui, sous chaque
bras, tenait un pain de seigle.
"Quel jargon!" glapit Will, en séchant ses mains. Sortant de la boutique, il voit un camé : Léon ? Vi,
il vend pire qu'avant. Jamais revu depuis Oran ou Tanger.
- Pour éviter les ennuis, reprit le petit homme, j’eus naguère une méthode :
durant des années, un matou goûta tous mes plats – or, quand le chat
cale, c’est mauvais signe. Itou quand le gay part, mais Hippo, pote,
ami, même, que je savais homo, ne voulait pas goûti – goûter,
voulais-je dire.
Mais il était tard.
- Faut que j’aille au pieu, Vremont ! lança Imiri, car peuchère, j’ai sommeil ! j'espère qu'il va se taire !

William se taire ? Dame ! Même quand il dort, meurt, il chante , s'il nettoie, ok, partie graisse "Cargo de nuit" beugle t-il !
- Tais-toi Willy, corna Jade, son amante, fatiguée, partie griller une clope, au summum de l'énervement...

Ils furent réveillés par le cri qu'Etienne poussa en glissant sur le sol de la véranda.
Ce bruit très inquiétant alerta les deux gouroutes, tardivement revenues de leur beuverie. La matinée s'avéra paisible, jusqu'à ce que leur petit frère, Omar, casse un bol de lait.
- C'est assez, cria Queenie ! Je rentre au bercail, car y bout mon cerveau !

Spoiler:

"Je finirai seul, soupira Maurice..." il se moucha, Momo... Comme l'appelaient Lambert et les enfants, "Au moins, aurai-je la paix car ils font du bruit repensant à ce canadien qui lui avait dit : "mon père il a ben un char, mais y pô pô t'amener." Qu'il le garde son char, en son c** ! Se surprit-il à penser...

C'est alors que Willy, ramassant sur le sol une canne, a ri : "Y est-y là le pépé ? Faut que je rende sa canne à son propriétaire, c'est pour son bien!"

Spoiler:

mon pseudo sert à tout et je vois d'ailleurs que deux gouroutes passent par là

toute ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé est complètement fortuite

Queen Mum a écrit:mon pseudo sert à tout et je vois d'ailleurs que deux gouroutes passent par là

toute ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé est complètement fortuite

Est-ce qu'il sert à Mick ?

Fortruite ? Hahahahah! Je ris sous carpe...

Mick ? das Apfel von meinen Augen ? (mon germain est approximatif )